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Ce hashtag unit les colères des maires et des citoyens méprisés.

Depuis le 1er janvier 2025, si votre véhicule est trop ancien, il vous est impossible de circuler dans les  » zones à faibles émissions  » des grandes agglomérations. Et tant pis si vous n’avez pas les moyens de changer de voiture !

Mais quand 40 % de la population vit en milieu rural, ce sont plus de 20 millions de Français qui sont bannis des villes. Traités comme des #gueux, on dit NON à cette rupture d’égalité qui nous écrase. Ce hashtag unit les colères des maires et des citoyens méprisés. Jamais la ségrégation sociale n’est allée aussi loin.

Et si les #gueux devenaient la voie de la reconnexion ? Une vague non partisane et républicaine, pour une écologie non violente et un retour à l’humanisme.

Un chemin pour une écologie non violente et un retour à l’humanisme

L’écologie a viré au sport de riche. La bouffe bio est hors de prix, le peuple s’en détourne. Les logements idéaux qu’on a construits avec les DPE sont en nombre insuffisant pour se loger à des prix accessibles. Les véhicules dits propres qu’on nous propose tournent autour de 30-40 000 euros. Parfait pour les smicards, les étudiants, les retraités modestes, les jeunes couples, les femmes seules, les chômeurs, les… Tout le modèle est à revoir. Avant que les ZFE ne fassent exploser notre pays dans une révolte qui pourrait bien dépasser en violence celle des Gilets jaunes. Pourquoi ? Parce qu’elles provoquent un changement fondamental, une division profonde du pays. Et l’exclusion d’un tiers de la nation, la fin de la République.

On a alors gentiment glissé vers une Europe bureaucratique qui peut désormais TOUT OSER contre le citoyen-gueux en enrégimentant les écolotechnocrates du continent puisqu’elle défend le Bien. Cette doctrine justifie la ségrégation pure et dure des ZFE. On a le droit d’écraser les classes moyennes, les manants. Ce véritable délire braque les peuples et peut tuer l’Europe si on ne revient pas dare-dare à une Europe démocratique sous contrôle des États légitimés par des élections. Naturellement, les bureaucraties, partout, à Bruxelles comme à Paris, se sont jetées sur cet écologisme-là pour se légitimer, se payer grassement, échapper au contrôle des citoyens et manipuler la morale en réduisant les libertés. La génération d’après doit tout remettre dans un sens qui honore chaque personne et l’écologie d’action, pas la punitive utilisée pour imposer un projet de société coercitif. L’humanisme va revenir. Et avec, l’amour de l’écologie intelligente, sans oublier les gueux